Micro
Que vous soyez musicien ou créateur de contenu audio et vidéo, vous avez besoin d’un bon micro pour enregistrer votre travail. Il y a un choix conséquent, avec des microphones à tous les prix, et il n’est pas toujours simple de faire le bon choix. Dans ce comparatif, j’ai sélectionné quelques valeurs sûres, que je vous détaille dans des tests et avis complets.
Quel micro est fait pour vous ? Comment choisir un microphone adapté à vos besoins ? Je réponds à toutes les questions que vous vous posez sûrement !
Micro studio : Comparatif !
Microphone, comparatif : Les meilleurs !
Tonor TC-777 : le meilleur microphone pas cher
Vous en avez marre de vous enregistrer avec le micro peu performant de votre smartphone ou de votre appareil photo et vous avez un petit budget ? Alors le Tonor TC-777 est probablement la meilleure solution qui s’offre à vous. Pour moins de 50 €, ce micro fait du super job en enregistrement cardioïde, pour capter votre voix ou le son d’un instrument.
Sa qualité de fabrication est sérieuse et il est livré avec tout un tas d’accessoires utiles et pratiques, comme un support anti-choc, un trépied, une bonnette ou encore un filtre anti-pop. L’utilisation est très simple, c’est un micro numérique qui se branche directement à votre ordinateur. Il est détecté immédiatement, et on peut de suite l’utiliser pour communiquer, pour enregistrer une vidéo ou pour réaliser notre première chanson.
Les performances de capture du son sont très séduisantes. Ça n’est pas à la hauteur des micros plus haut de gamme que je présente plus bas, mais pour débuter c’est largement suffisant. Le son est clair, sans souffle, sans coupure et le rendu est naturel. Bref, pour le prix, il n’y a aucune raison d’hésiter, vous trouverez difficilement mieux à ce tarif-là !
Rode Procaster : Le meilleur micro radio
Si vous souhaitez enregistrer des émissions de radio ou bien faire des podcasts, le Rode Procaster est un must. Il est utilisé par des professionnels de l’audio, mais il est accessible à tout le monde grâce à un prix vraiment canon. La qualité de fabrication est sublime, il est entièrement en métal assez lourd et plutôt gros pour un micro radio. J’aime bien son look, à la fois classique et sérieux, et j’adore surtout sa garantie fabricant de 10 ans !
Il est livré avec des accessoires de très bonne qualité et notamment une suspension anti-vibration super performante, qui gomme les chocs et les vibrations du pied de micro très efficacement. Le micro regroupe tout un tas de technologies, avec un système d’amortissement interne et une double grille avec un anti-pop intégré. Tout est là pour un enregistrement aux petits oignons, et pour une capture de la voix aussi propre que possible.
La cellule est très efficace, l’enregistrement est clair, chaleureux, pour que la piste audio soit aussi limpide et agréable à écouter que possible. Pour du podcast ou de la radio, on trouve difficilement mieux et rien d’aussi performant à ce niveau de prix. Même pour s’enregistrer au chant, c’est très efficace. Si vous souhaitez débuter directement avec du matos pro pas trop cher, ce Rode Procaster est ce qui se fait de mieux.
Blue Yeti : Le plus polyvalent
Vous ne savez pas encore vraiment si vous souhaitez faire des chansons, des vidéos Youtube, des podcats avec plusieurs amis, etc. Peut-être même que vous voulez faire un peu tout à la fois. Le Blue Yeti est alors l’un des meilleurs choix possibles. Il est d’ailleurs utilisé par de nombreux Youtubeurs, pour différents types d’utilisation. On l’apprécie pour sa prise en main très simple et ses différents modes d’enregistrement.
Vous allez pouvoir vous enregistrer en cardioïde pour le chant ou le doublage, en bidirectionnel pour un enregistrement de podcast ou une interview en face à face, en stéréo pour plusieurs utilisateurs en face du micro, ou bien en omnidirectionnel pour capter tous les sons et toutes les voix autour du micro. Bref, vous pouvez tout faire et toujours avec une excellente qualité.
La capture du son est précise, vos vidéos auront un son clair et agréable pour vos auditeurs. On peut faire quelques réglages directement sur le micro, notamment choisir le mode d’enregistrement, et il y a un port pour brancher un casque et écouter la captation du son sans latence. C’est complet, efficace et pour un prix vraiment raisonnable. C’est un petit investissement qu’on ne regrette jamais.
Micro : Comparatif et guide d’achat !
Les avantages d’un microphone de qualité
Si aujourd’hui, l’image est primordiale et que vous avez besoin d’une caméra de qualité pour filmer vos streams ou créer vos vidéos, le son n’en reste pas moins primordial. Vous êtes déjà tombé sur des vidéos, que ce soit sur Youtube, Facebook, Instagram, Twitch ou toute autre plateforme, avec un son médiocre. C’est frustrant, et on zappe immédiatement.
Avoir un bon micro, c’est l’assurance de ne pas faire fuir vos auditeurs dès les premières secondes. Ils partiront peut-être plus tard parce qu’ils n’aiment pas le contenu que vous proposez, mais ils auront au moins une chance de vous écouter correctement et de se faire un avis.
Un bon micro vous permet de proposer une qualité audio proche du travail des professionnels. Ils sont équipés de système anti-vibration ou de filtre pop-up, ce qui permet une capture sonore propre, claire et agréable à écouter.
Si le micro est très important pour le streamer ou le créateur de vidéo, il est également indispensable pour un chanteur ou un musicien. Vous allez pouvoir enregistrer efficacement vos mélodies et votre chant, pour faire découvrir aux autres vos talents, mais vous pourrez également progresser en écoutant vos morceaux. C’est un bon moyen de comprendre quels points sont à améliorer dans votre façon de chanter et d’utiliser un micro.
Les différents types de micro
On trouve principalement deux grandes familles de microphone, à savoir : Les micros dynamiques et les micros statiques. Ils ont tous les deux des qualités et des défauts, mais il y a de moins en moins de différence entre les deux en termes de performances d’enregistrement.
Le micro dynamique
C’est un microphone à bobine mobile. Il fonctionne de la façon inverse d’un haut-parleur. Une onde sonore, comme le son de votre voix, vient provoquer une vibration sur un diaphragme. Ce dernier bouge et fait vibrer une bobine placée autour d’un aimant. Cela créé un courant électrique qui correspond à la source sonore.
Un micro dynamique est généralement moins précis qu’un micro à condensateur (que je présente plus bas). Le diaphragme est plus épais pour faire bouger la bobine, ce qui fait perdre légèrement en qualité de capture sonore. Cela dit, la différence est de plus en plus mince.
Le micro dynamique est en revanche plus robuste, c’est pourquoi on les utilise pour le chant en concert. Le chanteur peut remuer son micro, le cogner un peu, il n’y a pas de risque qu’il s’abîme au moindre choc et les bruits des chocs seront beaucoup moins captés par la cellule. On va quand même éviter de l’utiliser pour taper sur la tête d’un fan trop oppressant… N’est-ce pas Rihanna…
On les utilise aussi beaucoup en radio, pour un usage quotidien. Ils sont fiables et leur durée de vie est généralement très longue. Ils ont également une meilleure résistance à la pression acoustique et ils peuvent donc enregistrer des sons puissants avec une belle précision. On préfère par exemple utiliser un micro dynamique pour enregistrer le son d’une batterie et on n’aura pas peur de le laisser au plus près de l’instrument.
Le micro statique condensateur
Plus sensible et plus précis, ce micro fonctionne via l’effet capacitif de l’électricité statique. Il y a une membrane très fine, conçue dans un métal conducteur (or, aluminium, mylar, etc). Elle est mobile et se trouve à proximité d’une électrode fixe. Cette dernière va faire osciller la membrane à chaque fois qu’elle reçoit une pression sonore. C’est la distance entre la membrane et l’électrode qui crée les différences de tension du signal.
Le matériel est plus fragile, c’est pourquoi on préfère laisser ces microphones sur un bureau ou sur un pied de micro. On les utilise beaucoup en studio, parce qu’ils ont une meilleure précision et apportent plus de détails. Ils n’aiment pas beaucoup les sons les plus aigus, qu’ils peuvent capter avec une certaine agressivité. C’est souvent le cas pour les cymbales d’une batterie, qu’on préfère capter avec un micro dynamique.
Comment bien choisir son micro ?
Dynamique ou numérique
Les nouveaux micros à condensateur peuvent se brancher directement sur un ordinateur, alors qu’un micro dynamique doit être relié à une carte son ou une table de mixage. Vous allez donc choisir aussi en fonction du matériel que vous possédez déjà.
Si vous avez uniquement un ordinateur avec un logiciel studio de traitement du son, vous ferez forcément le choix d’un microphone à condensateur. L’utilisation est bien plus simple et pratique pour ceux qui souhaitent débuter leur streaming ou enregistrer leurs premières chansons.
La directivité
La directivité est un critère de choix très important pour un microphone. Selon le type d’utilisation ou de médias qu’on désire enregistrer, on aura besoin d’une capture du son différente. Il y a 5 possibilités :
Cardioïde
C’est le mode de fonctionnement qu’on utilise généralement le plus souvent. On va capter le son en face de la capsule uniquement, ce qui permet de ne pas avoir trop de bruits ambiants, et de capter un son clair et précis.
On utilise un micro cardioïde pour le chant, la radio, ou pour un enregistrement streaming lorsqu’on est seul dans la pièce. C’est également le meilleur choix pour enregistrer un seul instrument. Il faut se tenir à 50 cm du micro environ pour capter le son de la meilleure façon possible. Dès qu’on sort de l’axe du micro, la capture est moins puissante et le son beaucoup moins détaillé.
Hypercardioïde
C’est une variante du cardioïde, qu’on utilise assez peu ou dans des applications très spécifiques. Il capte le son avec un angle encore plus réduit, toujours pour gagner en précision. Il y a tout de même une « bulle de réjection à 180° qui permet de mieux isoler un bruit ou une source sonore. Un Youtubeur ou un chanteur amateur n’utilisera jamais ce type de micro.
Omnidirectionnel
Un micro omnidirectionnel capte les sons tout autour de lui, à 360°. C’est utile dans plusieurs situations. Vous pouvez notamment enregistrer un podcast ou une vidéo avec plusieurs intervenants dans la même pièce. Au lieu d’avoir un micro pour chacun d’eux, il y aura un micro principal omnidirectionnel au milieu de la pièce.
C’est généralement comme ça que fonctionne de nombreux Youtubeurs lorsqu’ils font des vidéos à plusieurs. Il y a une légère perte de détails, mais si le micro est bien placé, on a un très bon rendu. Il faut tout de même être vigilant à la réverbération de la pièce, qui peut entraîner un son caverneux pas toujours agréable à l’écoute.
Pour l’enregistrement d’un instrument, un micro omnidirectionnel peut être intéressant. On va en effet capter le son d’une guitare, d’une contrebasse ou d’un violon, tout en incluant le son de la pièce. Là encore, ça dépend de la réverbération. Si elle est bonne, alors on peut obtenir un son plus rond, plus spatialisé, qui sera très agréable à l’écoute.
Bidirectionnel
Ici, la prise de son se fait à l’avant et à l’arrière du micro. C’est presque un double cardioïde avec un rend un peu moins détaillé. On peut l’utiliser pour chanter en duo, mais c’est surtout pour une interview en face-à-face que ce mode sera le plus intéressant.
Stéréo
L’enregistrement en stéréo est souvent une option qu’on peut retrouver sur plusieurs microphones cardioïdes. On va pouvoir notamment faire un podcast à 2 ou 3, en face du micro. La capture est plus large, jusqu’à 150° selon le micro.
Un micro polyvalent pour palier à toutes les situations
Il existe des micros, très complets, comme le Blue Yeti, qui offrent le choix de la directivité. On tourne un simple bouton potentiomètre sur le micro et on choisit la directivité la mieux adaptée à notre besoin du jour.
C’est forcément idéal lorsqu’on est un artiste multifacette et qu’on souhaite faire quelques vidéos Youtube, mais aussi enregistrer des chansons de temps en temps, ou pourquoi pas faire des interviews, etc. Il n’y a pas vraiment de limites et on peut essayer différentes prises de son pour ne conserver que la meilleure.
La qualité de fabrication
C’est un critère de choix qui a son importance. On trouve réellement des microphones à tous les prix, et avec des conceptions plus ou moins sérieuses. On va toujours préférer un micro entièrement en métal. Si on souhaite le poser sur un coin de bureau ou au milieu d’une table, on préfère qu’il soit bien lourd pour offrir une meilleure stabilité et ne pas chuter au moindre choc.
Un micro en partie en plastique, plus léger, peut-être être une bonne solution pour ceux qui ont déjà un trépied léger qui ne supportera pas plus de 300 ou 400 grammes. Le prix sera aussi bien moins élevé. Attention toutefois aux marques exotiques inconnues, on est souvent déçu du résultat. Si on achète un micro, c’est pour avoir un rendu sonore largement supérieur à celui de notre smartphone ou de notre caméra.
En règle générale, sans surprise, les micros de marque connue sont plus chers. On sait cependant qu’on aura du matériel de qualité, durable, avec une prise de son très satisfaisante. Certains fabricants garantissent leurs micros pendant 5 ans ou même 10 ans, c’est un bon moyen de nous rassurer au moment de la commande.
Les accessoires
Un microphone, surtout en studio, n’est jamais utilisé tout seul. Il y a plusieurs accessoires, qui peuvent être fournis ou commandés en option, et qui vont améliorer la qualité de vos prises de son. Voici ceux qui sont le plus souvent utilisés :
Le filtre anti-pop
C’est l’élément qu’on retrouve le plus souvent dans le packaging des micros, même en entrée de gamme. Pour enregistrer du chant ou simplement une voix, le filtre anti-pop est indispensable.
C’est un accessoire très simple, qui se compose d’une grille, en tissu ou en métal, placé sur un support souvent rond. On place ce filtre devant le micro, à une dizaine de centimètres, et il va atténuer le souffle que provoquent nos consonnes et notamment le « p » et le « b ». On parle des sons pop ou des plosives, qui sont désagréables à l’écoute.
Avec un filtre anti-pop, on se débarrasse tout simplement de ce souffle. Un filtre anti-pop ne coûte que quelques euros, et on peut même le fabriquer soi-même. Il n’y a aucune bonne raison de s’en passer lorsqu’on veut chanter ou faire un doublage par exemple. Même en radio, c’est indispensable.
Le pied de micro
On peut tenir un micro dynamique dans la main sans produire trop de bruits de manipulation, mais un micro à condensateur statique doit toujours être posé sur un pied de micro. Un mini trépied ou pied pour un bureau est souvent fourni, c’est suffisant pour ceux qui font du streaming ou qui souhaitent s’enregistrer en étant confortablement assis devant leur bureau.
Pour les chanteurs, la position debout est conseillée pour avoir un meilleur souffle. Dans ce cas, il faudra se munir d’un pied de micro adapté. Pour un micro statique, souvent lourd et assez fragile, l’achat d’un pied ne doit pas se faire au hasard.
Il faut qu’il soit assez lourd, bien stable, avec un système de serrage efficace. Dans le cas inverse, la hauteur du micro va se dérégler sans arrêt et le poids du micro peut même entraîner sa chute et l’abîmer.
La suspension
Lorsqu’on enregistre en studio, on veut un son aussi parfait que possible, sans le moindre défaut. La fixation du micro est alors primordiale. Si le pied de micro est important, la suspension est un accessoire qui va isoler le micro de son pied pour optimiser la qualité de l’enregistrement.
On va ainsi pouvoir gommer toutes les vibrations qui viennent du pied ou du sol. Le chanteur va pouvoir taper du pied en rythme et bouger devant le micro, sans que le son de ces vibrations ne soit capté par le micro.
La suspension est parfois fournie et tous les fabricants de micros studio proposent des suspensions adaptées à leurs microphones. On trouve également des suspensions standards et réglables, qui peuvent s’adapter à la plupart des micros.
La bonnette
C’est une sorte de capuchon en mousse qu’on va placer sur la grille du micro. Elle n’est pas toujours utile en studio, surtout si le filtre anti-pop fait bien le job ou que le micro est équipé d’une double grille. C’est plutôt un accessoire d’extérieur pour les micros dynamiques, qui va permettre d’étouffer le bruit du vent.
Cela dit, on le sait, en été, les Youtubeurs et autres chanteurs n’ont pas tous la climatisation chez eux. On va donc allumer un ventilateur pour être plus à l’aise. La bonnette est alors indispensable pour ne pas que le souffle du ventilo vienne perturber le micro.
L’écran acoustique
Il est plus rarement utilisé et jamais fourni avec le micro. C’est une structure généralement en mousse acoustique, qui se place de l’autre côté du micro, en face du chanteur. Le matériau acoustique est absorbant, ce qui permet de limiter l’effet de réverbération. On se protège alors de la réverb de la pièce, pour un enregistrement plus clair, plus net et donc plus précis.
Comment entretenir un micro ?
Vous avez déjà un bon microphone, alors il va falloir l’entretenir un peu ! C’est d’autant plus vrai si le micro change de main régulièrement. D’ailleurs, autant que possible, un micro avec une utilisation cardioïde doit être destiné à un seul utilisateur, c’est plus hygiénique…
Dans les faits, surtout pour des enregistrements maisons, tous les copains vont vouloir chanter un peu et donc il faudra nettoyer le micro à la fin de la journée. Voici quelques conseils sur comment procéder.
Entretien d’un micro dynamique
Notre premier conseil est de suivre ceux que vous donne la notice de votre micro. Généralement, pour les microphones haut de gamme, il y a un plan d’entretien qu’il faut respecter. Si la grille se dévisse, alors on va la retirer facilement pour la nettoyer sous l’eau. C’est simple et efficace.
On peut aussi utiliser un savon doux ou un désinfectant et bien rincer par la suite. S’il y a des traces de rouge à lèvre ou des restes du repas du chanteur (oui malheureusement, ça arrive…) qui ont séché sur la grille, on peut la frotter avec une brosse à dents à poils souples.
Il faut bien évidemment attendre que la grille soit parfaitement sèche avant de la revisser sur le corps du micro. Pour ne pas qu’elle s’oxyde, on l’essuie avec un tissu propre et on peut la sécher au sèche-cheveux avec un réglage à basse température.
Pour les grilles qui ne sont pas amovibles, c’est un peu plus délicat. On va utiliser uniquement un chiffon doux légèrement humidifié ou une lingette désinfectante. Le but est évidemment de ne pas faire entrer la moindre goutte d’eau à l’intérieur de notre micro.
Entretien d’un micro statique
Le principe est exactement le même, sauf qu’il faut être encore plus vigilant. Si la grille est amovible, on la retire et on la nettoie comme expliqué au-dessous. Si ce n’est pas le cas, on utilise des lingettes pour frotter délicatement, sans que la moindre goutte d’eau ne pénètre à l’intérieur.
Il n’y a rien de plus à faire, on pourra tout de même nettoyer aussi les différents accessoires, que ce soit le pied de micro, le filtre anti-pop ou encore la suspension. Travailler dans un environnement propre et sain est toujours bénéfique à la création.